Je m'appelle Anthony Roy,

et J'aime écrire.

Photo d'enfance

Mon histoire

Jusqu’à la fin du lycée et l’obtention du baccalauréat, je n’ai jamais su avec précision ce que j’aimerais faire de mon avenir, ce qui pourrait m’être si passionnant que je ne puisse jamais m’en lasser. Bien entendu, j’avais – comme tout à chacun je crois – un certain nombre d’intérêts à cet âge. Une des matières que je préférais était la philosophie, notamment quand nous abordions les sciences de l’Homme. Sans grande certitude, j’ai donc entrepris une licence de Psychologie. A ma grande surprise, et malgré une implication loin d’être inébranlable à cette époque, je me suis vu découvrir une passion pour autrui, pour les affects qui le composent, pour toutes les choses du passé qui participent à éclairer ce que nous sommes et deviendrons. L’université a fait naitre une seconde passion, que j’avais déjà quelque peu explorée en m’essayant à la poésie de temps en temps ; la passion pour l’écriture.

Ces deux affections ont hiberné de nombreuses années en moi, et je les redécouvrais toujours avec plaisir mais de manière ponctuelle et sporadique, comme saisonnière. J’en usais prioritairement à la faveur des travaux scientifiques que je poursuivais. Mais une fois ceux-ci terminés, je n’en eus pas pour autant fini avec l’écriture et l’intérêt que je trouvais dans l’Autre. Petit à petit, l’idée de raconter ce dernier m’est apparue comme une évidence, comme la résultante logique et prévisible des choses que j’aimais voir figurer dans ma vie.

Je n’ai jamais idolâtré personne. Aucune star, aucun chanteur, aucune grande figure historique ne m’a jamais intéressé au point de connaitre cette personne sur le bout des doigts. Je vois les gens comme des destinations, et je n’ai jamais aimé les endroits touristiques. Je me suis souvent dit qu’il était trop tard pour y découvrir de nouvelles choses. Ce que j’aime, ce sont les endroits où personne ne va. Mon intérêt, c’est celui du plus petit nombre. Mon environnement familial, social et culturel m’ont souvent amené à m’interroger sur la vie des gens dits « normaux », et c’est bien ceux dont on parle le moins qui m’intéressent le plus.

Une chose distingue l’homme de n’importe quel autre animal sur terre, la conscience de la mort. Et cette conscience est souvent terrifiante pour ce qu’elle implique de postérieur à son occurrence. Vais-je laisser une trace dans l’histoire ? Se souviendra-t-on de moi dans dix ans ? Y aura-t-il quelqu’un sur terre qui gardera le souvenir que j’ai envie de laisser ? Personnellement, j’ai beau n’avoir que 31ans lorsque j’écris ceci, je me pose déjà ces questions. Leurs non-réponses m’apeurent, et m’inquièteront possiblement davantage avec le temps. Ainsi qu’à ce titre, je veux devenir le biographe que j’aimerais rencontrer avant l’aube de ma propre fin de vie ; celui dont l’empathie, le plaisir d’écrire et la qualité rédactionnelle (allant souvent de pair) ne laisseraient aucun doute sur le fait qu’entre ses mains, mes mémoires perdureront avec beauté, et que la personne que j’étais raisonnera infiniment avec justesse dans le cœur de mes proches.

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Mes valeurs

Mon style d'écriture

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